Dernières publications
Utilisation des cellules dendritiques "chargées" du patient.
Si son concurrent Gardasil est tétravalent, Cervarix est seulement divalent: quelle est son efficacité vaccinale? Auteur: Guy Cuminatto, professeur de SVT, INRP
Le Haut Conseil de la Santé Publique (HSCP) a publié le 14 décembre 2007 un Avis relatif à la vaccination contre les papillomavirus humaine 16 et 18 par un vaccin bivalent. L'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (afssaps) a précisé dans son Avis d'avril 2008 le Plan de Gestion de Risque de cette spécialité pharmaceutique. La venue de ce vaccin présente un enjeu à la fois médical et financier. Auteur: Guy Cuminatto, professeur de SVT, INRP.
Alors que la vaccination anti HPV, virus impliqué dans l'apparition du cancer du col de l'utérus tend à se développer depuis novembre 2006, l'annonce en janvier 2008 du décès de 2 jeunes femmes ayant reçu une dose vaccinale constitue une nouvelle anxiogène et pose le problème du rapport bénéfice/risque. Expliquer que deux évènements qui se suivent peuvent ne PAS être reliés n'est pas facile. Auteur: Guy Cuminatto, professeur de SVT, INRP
Le vaccin nommé Gardasil est tétravalent, c'est à dire qu'il est dirigé contre les sérotypes 6,11, 16 et 18. Son concurrent nommé Cervarix est divalent, c'est à dire qu'il est dirigé contre les seuls sérotypes 16 et 18. Pourquoi ces 2 stratégies? Auteur : Guy Cuminatto, professeur de SVT, INRP
Vacciner contre l'infection à HPV: à quel âge? garçon ou fille? quelle population? Auteur: Guy Cuminatto, professeur de SVT, INRP
Les différentes étapes conduisant à l'AMM, exemple des vaccins anti HPV Actuellement, nous sommes dans la phase IV qui intègre un plan de gestion des risques. Auteur : Guy Cuminatto, professeur de SVT, INRP
Production du vaccin anti-HPV par la technique des VLP. Auteur: Guy Cuminatto, professeur de SVT, INRP
Deux vaccins prophylactiques, Cervarix et Gardasil. La vaccination HPV se positionne comme une action de prévention complémentaire et synergique du dépistage. Auteur: Guy Cuminatto, professeur de SVT, INRP
Principale source : résumé de l'article "vaccins anti-papillomavirus et prévention du cancer du col de l'utérus" par Sébastien Hantz, Sophie Alain et François Denis/Presse Med 2005; 34: 745-53/Masson-2005 Ces perspectives sont devenues réalités en fin 2006 puisque 2vaccins ont obtenu l'AMM et l'un est même disponible en pharmacie depuis novembre 2006. Auteur Guy Cuminatto, professeur de SVT, INRP.
Ces lymphocytes possèdent des caractéristiques à la fois de cellule de l'immunité innée mais aussi de cellules de l'immunité adaptative.
Une nouvelle population de lymphocytes T helper
Au cours d'une réponse immunitaire , même si l'ensemble des moyens de défense est mis en jeu , l'organisme fait prédominer la réponse la mieux adaptée en fonction du type d'antigène à éliminer . Les cellules dendritiques ont un rôle clé dans cette orientation préférentielle.
Le tube digestif est la plus grand surface du corps exposée à l'environnement. On y trouve les mêmes cellules immunitaires qu'au niveau de la peau. Celles -ci sont en contact avec des corps étrangers; les aliments en cours de digestion et des micro-organismes . Cependant la spécificité du système immunitaire de notre tube digestif tient aux relations étroites qu'il a avec certains d'entre eux: les micro-organismes commensaux qui composent notre flore intestinale.
En fonction des types d'éléments étrangers rencontrés les cellules dendritiques orientent la réponse immunitaire adaptative vers une réponse contrôlée par les lymphocytes Th1 ou Th2 (IgE).
Leur étude a permis, depuis une dizaine d'années, des découvertes récentes sur les mécanismes impliqués dans la réponse immunitaire. Les cellules dendritiques constituent une population hétérogène de leucocytes. Ce sont des phagocytes particuliers qui se situent à l'interface de la réponse innée et de la réponse adaptative et sont aujourd'hui au coeur de nouvelles stratégies vaccinales.
adresses internet
La reconnaissance des pathogènes par les TLR active les cellules qui portent ces récepteurs. Ce sont essentiellement les cellules de l'immunité innée qui deviennent alors efficaces. Certaines de ces cellules ( les cellules dendritiques ) induisent alors l'immunité adaptative.
Dossier rédigé par Sylvie FANFANO
Dossier rédigé par Sylvie FANFANO
Différents récepteurs de l'immunité innée découverts chez la drosophile puis chez les mammifères ont modifié la terminologie utilisée pour qualifier les deux grands types d'immunité.