Contrôle génétique de la mise en place du plan d'organisation
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Mise à jour : 14/08/2001

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Comment se construisent les doigts ?, n°305, p.40, janvier 1998. Basé sur les modalités de la  construction d'un membre doté d'un bras, d'un avant-bras, et d'une main à 5 doigts, cet article souligne l'intervention des gènes homéotiques dans cette construction. Des gènes Hox contrôlent la formation   de l'index et de la main, selon un mécanisme décrit et argumenté à l'aide de données relatives à diverses mutations des gènes Hox. Ces mêmes gènes sont également impliqués dans des aspects très différents du développement : par exemple, la genèse du système nerveux central, du système urogénital, et du tube digestif !
L'origine des doigts, 296, p.66, mars 1997. Dans cet intéressant article, le problème de l'origine des doigts des Tétrapodes est posé à partir des similitudes entre la nageoire des Poissons et le membre des Tétrapodes. 
Des gènes Hox, répartis en quatre complexes présents chez tous les Vertébrés, sont responsables, entre autre, du développement des membres. Avec prudence, l'article argumente l'idée que ces gènes Hox s'exriment de façon similaire au stade précoce du développement chez les Poissons et les Tétrapodes, et que, dans un stade morphologique plus avancé, ces gènes ne sont pas activés de la même façon chez les Poissons et chez les Tétrapodes. Cette théorie suggère que  les Poissons ont le potentiel génétique pour fabriquer des doigts, mais qu'ils en sont empêchés à un stade avancé du développement ! 
De la mouche à l'homme : un même supergène pour l'oeil, N.280 , p.58 , octobre 1995 Après des rappels concrets et bien illustrés sur les gènes homéotiques et les mutations de ces gènes chez la Mouche et chez la Souris, l'article traite du contrôle génétique de la formation de l'oeil, qui semble universel dans le règne animal. L'intervention d'une catégorie particulière de gènes régulateurs, appelés "gènes maîtres" est soulignée : un gène unique, situé au sommet d'une cascade d'événements impliquant deux à trois mille gènes, détermine la formation de l'oeil. 
Le contrôle de l'expression des gènes, N.  266 ,p.626 , juin 1994. Cet article cherche à expliquer ce qui rend possible le fait que tous les gènes d'un même organisme ne s'expriment pas dans toutes les cellules. Des protéines régulatrices sont capables de se fixer à l'ADN, sur des gènes spécifiques, et de bloquer ou de favoriser l'expression de ces gènes en fonction des besoins de la cellule. L'article n'est pas spécifique des protéines à homéodomaine codées par les gènes du développement, mais il permet de comprendre le mode d'association des protéines régulatrices à leurs gènes-cibles.
Les gènes du développement des mammifères, N.219, p.294, mars1990 En prenant pour point de départ l'identification et la caractérisation des divers types de gènes homéotiques chez la Drosophile ainsi que la découverte de l'homéobox et de l'homéodomaine, l'article expose le fonctionnement des gènes homéotiques des Mammifères. Les similitudes structurales et fonctionnelles entre  gènes homéotiques chez la Drosophile et chez les Mammifères sont soulignées . 
L'essentiel de l'article , plus complexe, est  consacré  aux modalités d'expression et d'intervention des gènes homéotiques lors du développement  de l'embryon des Mammifères. À cette fin, la technique d'hybridation in situ est explicitée. 
Le destin des cellules dans l'embryon, N.227, p.1476, décembre 1990 Un article très pointu, qui développe bien les techniques de marquages (utilisation de molécules étrangères, marquages utilisant des rétrovirus, manipulations d'embryons in vitro) permettant de retracer l'origine et le destin des cellules de l'embryon au début de la gestation. Les résultats obtenus indiquent que les premiers tissus formés ne contribuent pas à la constitution du foetus mais produisent les annexes embryonnaires. Un article qui relance le débat relatif à la recherche sur les embryons humains très précoces. 
La génétique du développement de la Mouche, N.    165   , avril 1985 Cet article, écrit au tout début de la "percée" de la génétique moléculaire du développement, explique les premiers éléments d'une génétique moléculaire du développement chez la drosophile... bien avant l'avènement de la génétique du développement chez les Mammifères. Le sujet est traité sous l'angle historique : découverte des mutations Bithorax et Antennapedia ; découverte du mode de contrôle génétique du développement (intervention de gènes "sélecteurs") ; analyse de gènes sélecteurs par mise en oeuvre des techniques du génie génétique. 
Les gènes du développement, N.198, 1994 

 

Article de synthèse sur les gènes homéotiques dont l'auteur rappelle l'importance dans le positionnement des cellules embryonnaires le long de l'axe antéro-postérieur. Présentation d'expériences de protéines chimères permettant de mettre en évidence le rôle de l'homéodomaine. Expériences d'activation, d'inhibiton et de transgénèse de gènes homéotiques
La régulation des gènes, N.168, 1991 

 

Article qui présente essentiellement les grands mécanismes de la régulation des gènes par les facteurs de transcription. Après un rappel historique de la régulation, l'auteur présente les homéogènes et les homéodomaines des protéines codées par ces gènes , en insistant sur leur domaine de fixation et d'activation de l'ADN . On remarque la grande homologie entre les facteurs de transcription, les homéogènes et les oncogènes ce qui ouvre quelques espoir pour le traitement des cancers.
Les gènes à homéobox et l'organisation du corps, N.155, 1990 

 

Article qui présente les grandes étapes de l'embryogénèse en mettant en place les notions de détermination et de champs morphogénétiques. la découverte en 1948, par Lewis, des mutations homéotiques chez la Drosophile, puis la mise en évidence des gènes à homéobox par Gehring en 1983 vont permettre de comprendre les grandes étapes de la mise en place des axes de polarité des organismes. L'auteur précise ses recherches sur Xenopus laevi et conclut sur l'importance de la compréhension de ces mécanismes du développement pour la connaissance de l'évolution du monde vivant.
Les gènes du développement, N.198, 1994 

 

Article de synthèse sur les gènes homéotiques dont l'auteur rappelle l'importance dans le positionnement des cellules embryonnaires le long de l'axe antéro-postérieur. Présentation d'expériences de protéines chimères permettant de mettre en évidence le rôle de l'homéodomaine. Expériences d'activation, d'inhibiton et de transgénèse de gènes homéotiques
La régulation des gènes, N.168, 1991 

 

Article qui présente essentiellement les grands mécanismes de la régulation des gènes par les facteurs de transcription. Après un rappel historique de la régulation, l'auteur présente les homéogènes et les homéodomaines des protéines codés par ces gènes , en insistant sur leur domaine de fixation et d'activation de l'ADN . On remarque la grande homologie entre les facteurs de transcription, les homéogènes et les oncogènes ce qui ouvre quelques espoirs pour le traitement des cancers.
Les gènes à homéobox et l'organisation du corps, N.155, 1990 

 

Article qui présente les grandes étapes de l'embryogénèse en mettant en place les notions de détermination et de champs morphogénétiques. la découverte en 1948, par Lewis, des mutations homéotiques chez la Drosophile, puis la mise ne évidence des gènes à homéobox par Gehring en 1983 vont permettre de comprendre les grandes étapes de la mise en place des axes de polarité des organismes. L'auteur précise ses recherches sur Xenopus laevi et conclut sur l'importance de la compréhension de ces mécanismes du développement pour la connaissance de l'évolution du monde vivant.
Science et Vie n° 190, "Les 9 premiers mois de la vie", mars 1995  Morphogenèse de l'embryon humain, et contrôle des étapes.  
Science et Vie n° 210, "La vie au tout début", mars 2000 Idem en plus approfondi, avec gènes homéotiques

Institut national de recherche pédagogique