Etude expérimentale de l'infection par le plasmodium
d'hématies à G6PD déficiente et d'hématies G6PD fonctionnelle
Des chercheurs ont prélevé du sang chez des hommes non paludéens ayant une enzype G6PD active (Groupe X), et  une enzyme G6PD déficiente (Groupe Y). Ils ont placé un même volume d'hématies de chaque échantillon dans un milieu de culture contenant un petit volume d'hématies parasitées par le plasmodium (1% par rapport au volume total d'hématies des deux échantillons). Ils ont ensuite suivi l'évolution du nombre d'hématies parasitées au cours du temps.
D'après ROTH E.F. et al. (1983).

Depuis, une étude publiée en 1998 (nouvelles données expérimentales) a montré que les hématies G6PD déficientes dans lesquelles le plamodium vient de pénétrer (donc avant que le parasite ait commencé), sont plus fréquemment phagocytées que les hématies G6PD normales.
D'après CAPPADORO M. et al. (1998).