Le clonage et ses applications
Clonage 
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Mise à jour : 27/11/2003

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CLONAGE ET TRANSGENESE

ARN
Acide ribonucléique constitué d'une seule chaîne de ribonucléotides, dont le sucre est le ribose et les bases sont la cytosine, la guanine, l'adénine et l'uracile. L'ARN messager (ARNm) est une copie d'ADN (de durée de vie le plus souvent limitée). Il sera traduit en polypeptide grâce aux ARN de transfert (ARNt) porteurs d'un anti-codon reconnaissant un codon de l'ARNm et d'un site de fixation à l'acide aminé correspondant (selon le code génétique). Les ribososmes assurent un positionnent de l'ensemble et catalysent la réaction peptidique (liaison entre deux acides aminés contigus).

ARN anti-sens
ARN complémentaire d'un ARN spécifique. En s'hybridant à l'ARN spécifique il en masque la fonction.

ARNm maternel
ARN messagers issus de la transcription de gènes maternels, s'accumulant dans l'ovocyte et intervenants au cours des premières divisions du zygote. Les ARN maternels seront ensuite dégradés et remplacés par les ARNm issus de l'activation différée de la transcription du noyau zygotique.

Blastocyste
Stade de l'embryon caractérisé par des cellules différenciées en un bouton embryonnaire (inner cell mass) et une couronne cellulaire (outer cell mass) et la formation d'une cavité blastocoelienne. Les cellules du bouton embryonnaire formeront le foetus et celles de la couronne cellulaire formeront le placenta et les membranes foetales. Le blastocyste s'implante dans la muqueuse utérine au cours de la nidification. 

BrDU (Bromo-désoxy-uridine)
Nucléotide s'incorporant à la place de la thymine, utilisé comme indicateur de la traduction.

BrUTP (Bromo uridine-tri-phosphate)
Précurseur de l'uracyle utilisé comme indicateur de la transcription.

Cellule de cumulus
Couronne de cellules entourant l'ovule dans le follicule. Pendant la phase de croissance folliculaire, ces cellules protègent et nourrissent l'ovule. Lors de l'ovulation, ces cellules quittent l'ovaire avec l'ovule. 

Cellules EG (embryonic germ cells)
Cellules provenant des cultures de cellules germinales primordiales (précurseurs des ovules et des spermatozoïdes, prélevés sur des foetus). Ces cellules donnent naissance à des cellules souches, possédant des caractéristiques analogues aux cellules ES. 

Cellules ES (embryonic stem cells: cellules souches embryonnaires)
Cellules dérivées de la masse interne du blastocyste. Ces cellules sont pluripotentes et peuvent s'autorenouveler et se différencier pour donner naissance à tous les types cellulaires de l'adulte. 

Cellules germinales
Lignées de gamètes (ovules et spermatozoïdes) d'un être vivant. 

Cellules germinales primordiales 
Cellules souches des cellules reproductrices colonisant les crêtes génitales de l'embryon de vertébré, à partir de l'entoblaste d'une zone postérieure de la vésicule vitelline, proche du canal vitellin.

Cellules de Sertoli
Cellules constitutives de la paroi des tubes séminifères du testicule de vertébrés et entourant les cellules de la lignée spermatique dont elles contrôlent le développement. 

Cellules somatiques
Ensemble des cellules non sexuelles de l'organisme. 

Chimère
Individu composé de cellules d'origines génétiques différentes, par exemple, par fusion de deux embryons du même couple ou de couples différents.

Cis (régulation en cis)
Régulation de l'expression d'un gène par une séquence d'ADN non codante, située sur le même chromosome que ce gène (ex: enhancer, promoteur).

Clivage (ou segmentation du zygote)
Division du zygote par mitoses successives sans accroissement du volume global (les blastomères deviennent de plus en plus petits) et conduisant à la formation d'une morula chez les vertébrés.

Clonage
Appliqué à un organisme, le clonage consiste à produire un individu ou une population d'individus possédant dans le noyau de leurs cellules un ensemble de gènes identiques à celui de l'organisme à partir duquel le clonage a été réalisé. Le clonage peut être effectué à partir de cellules provenant d'un individu adulte, ou de cellules issues d'un même embryon.

La production d'organismes entiers génétiquement identiques est un phénomène courant dans le monde végétal (par bouturage classique, micro-bouturage en éprouvette...). Ces ensembles d'organismes sont des clones qui, dans le cas des végétaux, sont appelés "variétés". La propagation de nombreuses variétés importantes de plantes se fait actuellement à partir de morceaux d'une plante de la même variété. Dans le monde animal, cette reproduction n'est possible que dans quelques espèces peu évoluées. 

Chez les vertébrés, la naissance de jumeaux identiques représente une forme de clonage naturel. Les jumeaux monozygotes sont formés par le clivage de l'embryon en deux moitiés à un stade précoce du développement. Ces jumeaux sont identiques entre eux car provenant d'un seul zygote résultant de la fécondation d'un ovocyte par un spermatozoïde; ils sont différents des parents. 

Clonage cellulaire
Permet de produire des copies de cellules somatiques en les cultivant en laboratoire. Le bagage génétique des cellules ainsi produites est identique à celui de la cellule de départ. Cette technique est extrêmement utile aussi bien pour la recherche que pour la médecine. 

Clonage moléculaire
Technique devenue routinière en biologie moléculaire qui consiste à cloner des fragments d'ADN, la base moléculaire de l'hérédité. Les fragments d'ADN sont copiés et amplifiés dans un organisme hôte, en général une bactérie, une cellule de levure ou de mammifère. Cette technique a permis la production de molécules d'une grande importance thérapeutique comme l'hormone de croissance, l'érythropoïétine (permettant le traitement de l'anémie associée à l'insuffisance rénale), le tPA (permettant de dissoudre les caillots sanguins). 

Clone
Du grec klwn (klon) : rameau ; par extension: jeune pousse, bouture, greffon. En science (à l'origine) : ensemble formé par un individu animal ou végétal et par tous les descendants qui en sont issus par multiplication asexuée. Actuellement, le mot clone désigne une copie génétiquement exacte d'un gène, d'une molécule, d'une cellule, d'une plante, d'un animal. 

Compétence 
Aptitude transitoire d'un tissu embryonnaire (ou de l'ovocyte) indifférencié à percevoir un signal inducteur externe et à y répondre par une différenciation. La compétence vis à vis d'un signal inducteur évolue dans l'espace et dans le temps au cours de l'embryogenèse.

Cycle cellulaire
Cycle de reproduction des cellules. C'est un ensemble ordonné de phases permettant à la cellule de dupliquer son contenu (notamment les chromosomes des cellules eucaryotes) et de se diviser en deux. Le cycle des cellules eucaryotes se caractérise par la succession d 'une interphase et d'une mitose. L'interphase comporte trois périodes G1, S (au cours de laquelle se réalise la duplication de l'ADN) et G2. Les cellules qui ne sont pas dans un cycle cellulaire sont en en quiescence (phase G0), en différenciation terminale, ou en phase de dégénérescence (sénescence et apoptose).

Embryon
Produit de la fécondation d'un ovule par un spermatozoïde. Bien que ce terme désigne parfois tous les stades du développement d'un animal à partir de la fécondation jusqu'à la naissance, l'utilisation de ce terme dans l'espèce humaine est généralement limitée aux huit premières semaines du développement. Par la suite, il est préférable de parler de fœtus; on utilise parfois le terme " pré-embryon " pour les quinze premiers jours du développement. Un embryon, dans l'environnement approprié, a la potentialité de se développer en un organisme complet et forme chacune de ses parties. Le premier stade du développement de l'embryon est celui de l'ovocyte fécondé, le zygote. Le zygote entame une série de divisions cellulaires. Au cours des premières divisions, la taille totale de l'embryon ne change guère, jusqu'à la formation d'un amas compact de cellules appelé morula; la morula se creuse ensuite d'une cavité interne pour former le blastocyste ; ce blastocyste s'implante dans la muqueuse utérine pendant la nidification. Les cellules issues des premières divisions de l'embryon sont appelées blastomères. Jusqu'à un certain stade (8 dans l'espèce humaine), ces blastomères sont totipotents : ils ont tous, à eux seuls, la capacité de se développer en un organisme complet. 

Enzyme de restriction 
Enzyme bactérienne qui coupe la chaîne d'ADN en un site précis. Elle est utilisée pour isoler les gènes. 

Empreinte parentale (ou "sceau génomique")
Régulation différentielle de certains gènes selon leur origine maternelle ou paternelle. Ceci ne concerne qu'un petit pourcentage de gènes, chez lesquels c'est soit l'allèle maternel, soit l'allèle paternel qui est transcrit.

Enhancer (ou séquence activatrice)
Séquence d'ADN augmentant la probabilité qu'un gène soit transcrit, probablement en agissant sur la chromatine. Un enhancer peut être très éloigné du gène qu'il régule (son action nécessiterait alors la formation de boucles d'ADN) et il peut interagir avec des facteurs de transcriptions spécifiques.

Epigénétique
Qualifie un facteur lié à l'environnement dans lequel vit un organisme et qui modifie l'expression de son programme génétique au cours de l'ontogénèse.

Epissage alternatif (ou différentiel)
Modification du choix des exons conservés lors de l'épissage, pouvant aboutir à la synthèse de protéines différentes à partir d'un même ARN pré-messager.

Epissage de l'ARN (splicing)
Processus de maturation des transrits primaires caractérisé par l'excision des introns et la soudure (épissage) des exons situés de part et d'autre de chaque intron excisé.

Facteur de transcription
Terme général regroupant toutes les protéines (sauf l'ARN-polymérase) se liant à l'ADN pour initier ou contrôler la transcription.
Les facteurs généraux de transcription sont les protéines nécessaires à la transcription des gènes d'une même classe et qui participent à la formation du complexe d'initiation se formant près du site de démarrage de la transcription.
Les facteurs spécifiques de transcription sont des protéines qui se fixent spécifiquement à une séquence régulatrice d'ADN (qui peut être éloignée du site d'initiation de la transcription. 

Fibroblaste
Cellule du tissu conjonctif que l'on trouve par exemple dans la peau, les poumons, les reins.

Gène
Ensemble de séquences d'ADN (régulatrices et transcrites) permettant la production régulée, soit d'un ARN de structure (ARN de transfert et ARN ribosomaux), soit d'un ARN messager codant une chaîne polypeptidique spécifique (ou plusieurs chaînes par suite d'un épissage alternatif).

Gène à effet maternel
Gène transcrit dans l'organisme maternel au cours de l'ovogenèse et dont les produits peuvent agir très tôt lors du développement embryonnaire, c'est à dire dès la fécondation et avant même que les gènes zygotiques ne soient exprimés.

Gène zygotique (ou gène à effet zygotique)
Gène porté par le génome du zygote. Son origine est donc maternelle ou paternelle. L'activation transcriptionnelle de ces gènes est donc différée par rapport à la fécondation, si bine que le début du développement embryonnaire est uniquement sous le contrôle de gènes à effet maternels.

Génome
Totalité de l'information génétique d'un organisme ou d'une cellule.

Génotype
Ensemble des éléments codants du génome conduisant à l'expression du phénotype.

Hybridation in situ
Technique permettant notamment de localiser sur une coupe de tissu ou de cellule une molécule d'ADN ou d'ARN messager. Cette technique nécessite l'utilisation d'ue sonde nucléotidique simple brin et marqué (par exemple radioactive), ce qui permet de détecter ensuite l'hybride formé (par exemple par autoradiographie)

Induction embryonnaire
Emission au cours de certains stades du développement embryonnaire d'un signal par une cellule embryonnaire inductrice vers une cellule embryonnaire compétente , ce signal induit la cellule apte à le recevoir à s'engager irréversiblement dans une voie de différenciation particulière.

Intron
Segment d'ADN transcrit mais non codant, alternant, à l'intérieur d'un gène eucaryote, avec les exons. Les copies d'introns présentes dans le transcrits primaires sont excisées lors de la maturation de ce transcrit, l'ARNm mature fonctionnel en est dépourvu.

MPF, Mitotic Promoting Factor ou M-phase Promoting Factor
Ce facteur est impliqué dans la régulation du cycle cellulaire, il déclenche en particulier l'entrée de la cellule en division. Il se présente sous forme de complexe actif ou inactif. Après la piqûre par le spermatozoide, l'activité du MPF baisse dans l'ovocyte et celui-ci entre en interphase. 

OGM
Organisme Génétiquement Modifié, organisme issu des techniques du génie génétique, c'est-à-dire dans lequel l'homme a introduit des gènes porteurs d'un caractère d'intérêt, gènes provenant d'un autre organisme. Les cellules de cet organisme sont dès lors dotées de ce gène nouveau (dit transgène), et peuvent produire une protéine spécifique.

Oviducte
Conduit par lequel, chez les animaux, l'ovule ou l'ovocyte quitte l'ovaire. Dans l'espèce humaine, l'oviducte est nommé trompe de Fallope. 
 

Parthénote
Zygote obtenu par " parthénogénèse ", c'est à dire par doublement du matériel chromosomique de l'ovocyte, contenant 1N,2C chromosomes, et dépourvu de matériel génétique d'origine mâle.

PCC
Condensation prématurée de la chromatine.
 

Plasticité
Possibilité d'adaptions fonctionnelles et de réarrangements structuraux au sein d'un tissu, en particulier le tissu nerveux, au cours du développement et chez l'adulte.
 

Polyspermie
Phénomène anormal au cours duquel plusieurs spermatozoïdes pénètrent dans un ovule. 

Promoteur
Séquence régulatrice de l'ADN située en amont (en 5') de la région transcrite d'un gène, contenant le site de fixation de l'ARN-polymérase et pouvant aussi fixer des facteurs protéiques contrôlant l'initiation de la transcription.

Recombinaison homologue
Technique permettant de remplacer sélectivement un gène endogène par un transgène. Cette technique est utilisée par exemple pour inactiver sélectivement un gène (gène KO) en le remplaçant par une séquence équivalente mutée. 

Remodelage 
Ensemble des modifications que subissent le noyau et la chromatine d'une cellule lors des étapes de différenciation, de spécialisation ou de dé-différenciation. Ces modifications peuvent être morphologiques (perte d'enveloppe nucléaire, condensation plus ou moins pronocée de la chromatine), ou biochimiques (méthylation de l'ADN et des histones, acétylation des histones, ouverture de la chromatine par des facteurs ATP-dépendants…)
 

Régulation des gènes
Les gènes peuvent être régulés par différents processus. L'un d'eux consiste en une méthylation de l'ADN entraînant une conformation compacte qui empêche sa transcription. Lors de la période préimplantatoire on observe chez certaines espèces une déméthylation des patrimoines mâle et femelle.
 

Reproduction asexuée
Reproduction qui n'implique aucune des composantes de la reproduction sexuée. La reproduction asexuée est la règle chez les bactéries et de nombreux organismes unicellulaires à noyaux (les protozoaires et les champignons unicellulaires). Nombre d'organismes pluricellulaires (par exemple des plantes et des animaux) alternent des phases de reproduction asexuée et sexuée, tirant ainsi profit de l'accroissement rapide de la population que permet la première et de l'avantage du remaniement génétique que permet la seconde. La reproduction asexuée des êtres pluricellulaires est assurée par une ou plusieurs cellules somatiques qui possèdent le pouvoir de se diviser selon un programme de différenciation spatio-temporelle comme seul semble pouvoir le faire le zygote des espèces à reproduction exclusivement sexuée. Cette propriété est qualifiée de totipotentialité. 

Reproduction sexuée
Pour les biologistes, elle implique la fécondation d'un gamète féminin par un gamète masculin formant un zygote, puis un embryon. Chez l'être humain, le noyau de l'ovocyte haploïde, contenant 23 chromosomes, et le noyau du spermatozoïde également haploïde, contenant 23 chromosomes, fusionnent en formant de cette manière un zygote dont le noyau est diploïde et contient 46 chromosomes. Lors de la formation des gamètes, un processus particulier (la méiose avec recombinaison génétique par " crossing-over ") permet la sélection unique de la moitié des chromosomes (composée de manière aléatoire) des cellules germinales maternelles et paternelles. Chaque embryon contient ainsi un assortiment indépendant et unique des chromosomes des deux parents. 

Reprogrammation
Retour d'un noyau à un état totipotent. Dans le cas du clonage à partir d'une cellule somatique, seule la naissance d'un individu normal et en bonne santé témoigne d'une "reprogrammation" effective et correcte.

Segmentation
Division (ou clivage) du zygote en un nombre croissant de blastomères. Ce terme est aussi utilisé pour le fractionnement d'un organisme, d'une structure ou d'un tissu en unité distinctes (ex : métamérisation chez les insectes, segmentation du mésoderme somitique et du rhombencéphale chez les vertébrés…)

Spermatogonies
Cellules germinales primordiales mâles, diploïdes (à 46 chromosomes), présentes dans les tubes séminifères qui donneront naissance aux spermatozoïdes haploïdes (à 23 chromosomes). 

Télomères
L'ADN télomérique est formé par des répétitions très régulières, en tandem, d'un motif simple de 5 à 8 paires de bases riches en guanine. Au fur et à mesure des divisions de la cellule, la longueur des télomères diminue, ce qui en fait un phénomène concommittant au vieillissement aussi bien in vitro (les fibroblastes fœtaux bovins en culture se divisent environ 60 fois, puis meurent) qu'in vivo (l'ADN des cellules d'un organisme âgé ont des télomères plus courts que celui d'un foetus ou d'un nouveau-né).
 

Totipotence ; cellules totipotentes
Capacité qu'ont des cellules (embryonnaires) de contribuer au développement de tous les tissus et organes d'un organisme entier. Seuls le zygote et les cellules embryonnaires initiales (premiers blastomères) sont totipotents chez les vertébrés. En revanche, toutes les cellules végétales le sont. 

Transcriptase inverse (ou transcriptase reverse)
Enzyme catalysant la formation d'un ADN complémentaire à partir d'un ARN. Elle permet aux rétro-virus (virus à ARN) de copier leur ARN en ADN qui s'intègre ensuite à l'ADN des cellules de l'hôte. Elle constitue aussi un outil en biologie moléculaire pour produire in vitro des séquences d'ADN à partir d'un RN isolé.

Transgène
Séquence d'ADN exogène introduite dans un organisme receveur (par exemple en utilisant des vecteurs rétro-viraux), insérée par recombinaison génétique à l'intérieur du génôme du receveur et transmissible.

Transgénèse
Ensemble des techniques permettant de transférer un gène d'un organisme à un autre.

Transgénique
Qualifie un organisme dans lequel on a transféré un gène et qui l'a incorporé dans son génome (ex : souris transgénique).

Transfectée
Etat d'une cellule ayant intégré un transgène.

Transformée
Etat d'une bactérie ayant intégré un transgène.

Transposon
Elément génétique mobile, cellulaire ou viral, capable de se déplacer d'un endroit d'un chromosome à un autre.

Zone pellucide
Enveloppe entourant l'œuf ou l'embryon avant la nidification, chez les mammifères. L'embryon se dégage de cette enveloppe lors de " l'éclosion " , puis se fixe à la paroi utérine.
 
 

EN CAS DE BESOIN

Index anglais/français de la terminologie du génie génétique 
http://www.pasteur.fr/recherche/DicoAF.html

Cours sur le cycle cellulaire
http://www.baclesse.fr/cours/fondamentale/4-division-cellulaire/Divis-0.htm


Institut national de recherche pédagogique